Rhododendron, fleurissant
Le Kolkwitzia amabilis, ou Buisson de beauté, reste insignifiant dans son emplacement au bout de la deuxième terrasse, à gauche. Je les compte de haut en bas. Si vous retournez à l’entrée où je parlai du plan du jardin, vous pouvez voir qu’il y en a cinq niveaux en tout.
J’appelle celle de plus haut, au niveau de la rue et de la maison, la terrasse principale, et celle de juste en dessous la deuxième terrasse. De là, descendent trois escaliers. Celui du milieu plonge directement en bas du jardin, où se trouve la piscine, à gauche, et puis il y a deux escaliers plus courts, un de chaque côté. L’escalier de droite descend à la terrasse intermédiaire de droite, avec son banc en pierre adosser contre le talus de millepertuis, face à une plate bande de hémérocalles et là où se trouvera le garage et sa cour. L’escalier à gauche amène à la terrasse intermédiaire de gauche et son talus de millepertuis, une petite plate bande de plantes aromatiques (pas grandes choses), d’où un autre petit escalier de quelques marches descend à la terrasse de la gloriette et encore quelques marches amènent le visiteur au niveau de la piscine et son gazon, qu’elle domine.
Travaillant sur la création du jardin de quelqu’un d’autre s’est prouvé dangereux (pour le budget), car si mon objectif fut d’apprendre un maximum de choses dans un minimum de temps pour pouvoir maîtriser à un minimum les la sélection des plantes, bon, maintenant je peux rentrer chez Florosny et reconnaître encore plus de plantes. Je ne les résiste pas, et les ramène pour expérimenter dans mon propre jardin. Tony, ressentant ma grande susceptibilité hier après-midi, -- quand j’achetai 4 clématites, 2 rosiers lianes, encore un chèvrefeuille, le Buisson de beauté, et un petit arbre de Judée sur lequel il a cassé le prix car il n’a des branches sur qu’un côté de la, et puis il m’offert 2 Genêts à balais (Cytisus scoparius) dont je n’ai strictement rien à faire – sentit le grand coup et se mit à accessoiriser comme un vendeur sur commission chez Le Bon Marché.
Il me montra un Azalée mollis aux fleurs blanches à tomber parterre quand il me vit admirer un plus petit spécimen. Bien sur qu’il fut trois fois le prix, et une merveille. Mais, je tins bonne et le laissai au magasin. Peut-être une autre fois, et puis sûrement le plus petit.
"Mon mari me tuerait. J’achète les plantes comme certains gens achètent des --" je hésitai pour réfléchir avant de rajouter, "des chaussures."
"C’est vrai que vous achetez beaucoup de plantes," dit-il, riant gentiment, et puis rajouta "Il faudra que je vienne voir le jardin.”
Le portail est ouvert. C’est quand vous voudriez.
Un jour comme aujourd’hui, par exemple. Encore une journée exquise, et que fis-je? Après mon travail politique (et inutile) pour la journée – un email à Maureen Dowd du New York Times, applaudissant son changement de ton dans son éditorial aujourd’hui au sujet du triste métamorphose de Hillary Clinton, une entrée dans mon blog politique sur le site Mybarackobama.com (Googlez Jacqueline de Floris, et c’est la première chose, pour ce qu’il vaut, qui n’est pas grandes choses, bien qu’il m’a décrocher une invitation de contribuer à un blog politique. Mais, s’ils veulent de moi, ce ne peut pas être si merveilleux. Ce n’est pas l’un des grands), l’envoie de quelques emails et quelques affaires personnelles qui exigeaient mon attention, et je suis allée creuser encore un trou au moment où il faisait le plus chaud.
Ce trou fut à côté d’un vieux trou d’une vielle souche d’arbre pourrie d’une taille qui m’a toujours surpris car elle est très grande pour le coin d’une plate bande surélevée. Ce fut quelle sorte d’arbre ? Depuis sa disparition, sa souche et le trou servaient d’abris pour un bloc de béton qui servit autre fois de vasque et jeta là et un très grand crapaud. Je donnai quelques petits coups avec la bêche pour voir si le crapaud fut chez lui avant de enlever le bloc de béton et me mettre à attaquer la vielle souche avec des vrais coups de ma bêche. Je ne voulais ni l’enterrer vivant ni lui faire peur.
Les Buisson de beauté ont le bonne grâce de bien vouloir pousser et s’épanouir dans n’importe quel sol, même les sols calcaires, alors je pus mélange rune bonne quantité de la terre d’origine avec la terre végétale pour remplir le trou je creusai. En fait, je fis le trou pour son système futur de racines. Le Buisson de beauté règne fièrement et sans une présence remarquable sur son petit monceau de terre, un peu au-dessus le bord du mur de la plate bande surélevée dan laquelle il est planté. Ainsi, il peut s’enfoncer sans disparaître le temps qu’il grandi.
Et, comment il grandira. Les Kolkwitzias sont d'arbustes caducs magnifiques, au port érigé et aux branches arquées, qui peuvent atteindre 2 à 3 mètres de haut et de large, si on les permet. Il est un arbuste idéal pour remplir l’espace au bout de cette terrasse étroite – on peut le percevoir, une petite masse couverte de feuilles à droite des iris jaunes dans la photo – entre le grand Laurier nobilis et les pivoines, le rosier et les iris.
Puisqu’il se trouve à plus ou moins 60 centimètres au-dessus du sol, ses branches retomberont jusqu’au sol, créant un rapport entre la végétation dans la plate bande et le gazon. La plus part des arbustes plantés dans les plates-bandes par la personne qui fit ce jardin sont totalement érigés, ce qui fait qu’ils paraissent des prisonniers de leur plates-bandes surélevées, un manière de traiter les murs bas qui manque de grâce.
Le troisième côté est occupé par un Spiraea van Houten, ou Spirée de Vanhout, celui qui fait un si bon abri pour le Paeonia suffruticosa et qui a le même port que le Buisson de beauté, et la rangée Lavendula grosso, rosiers hybride de thé et les deux rosiers pleureurs.
Derrière, la clématite 'Nelly Moser', aux pétales blanches avec des traits d’un rose pale, et qui tolère bien l’ombre d’ailleurs, fleurissant en début d’été et encore dans l’automne, grimpera dans le lierre et tombera en cascade sur le Buisson de beauté.
Et j’ai toujours autant que je dois planifier et planter ! Mais je suppose que cela est une bonne chose.
Là, je dois avaler mon dîner et faire le ménage que je négligeais en préférence du jardin. Hector et sa copine reviennent tard ce soir pour deux jours encore, et une vielle amie adorée vient aussi passer deux jours de ce long week-end férié. Je vais essayer de rester assise tranquillement dans mon jardin jusqu’à samedi !
.... La saga de la pompe de la piscine Chapitre 2
Le garagiste la déclara morte. Non seulement le boulon qu’il ne peut pas sortir tourne avec sa manche, mais les trois autres têtes de manches ne sont pas à niveau. C’est une indication que la pompe a gelée avant cet hiver. Il fuira, dit-il, et demanda si je suis allée voir Aqua System. C’est là, lui dis-je, je vais immédiatement.
Là, Sabine me dit qu’elle se demanda où j’étais cette saison, car d’habitude j’y vais beaucoup plus tôt dans la saison (Je suis connue par mon accent, qui me met à part dans le coin, bien que je ne sois pas la seule anglophone), et elle me dit que oui, nous pouvons acheter un nouveau corps pour la pompe, mais il coûterait presque le prix d’une nouvelle pompe.
Lorsque je transmis tout ce que Sabine m’avait raconté, il prononça, "Non. Amène-la chez Zachalsky, dis lui d’enlever le boulon, et je verrai ce que ça donne. "
"Ah, mais non, je ne pense pas que cela soit une bonne idée. Pour quoi on voudra permettre la pompe de fuir et occasionner des problèmes de pression dans les tuyaux quand on a déjà des assez d’ennuis tous les ans à cause de cette pompe qui fuit probablement déjà ? Il est temps de la remplacer et trouver une moyenne sûre de la protéger pendant l’hiver. Mais tu décides. C’est comme tu voudras."
Ca, j’ai appris, marche en générale.
"Mais alors, la pompe est moins cher que j’ai pensé, il peut toujours coûter une fortune de la raccorder."
"Je vais dire que les pompes de piscine sont peut-être standardisées à fin d’encourager les gens d’acheter des nouvelles unes, et celles du compétiteur."
J’eus raison, à peu près, il parait. Pas de miracle. C’est le fruit d’avoir travaillé comme architecte pendant des années. J’amènerai la vielle Hayward pour voir si elle corresponde à la pompe Eurostar qu’ils ont en stock, au même prix finalement que la Hayward qu’ils peuvent nous commander si elle serait plus facile à installer finalement. Sabine s’en fou ; leurs garçons sont si surbookés qu’ils préfèrent que nous l’achetions et puis l’installions nous-même.
Alors, les animaux aquatiques bénéficiant de notre piscine auront encore une semaine ou 10 jours, à moins que Audouin puisse l’achever dimanche, mon but pour sa journée de dimanche.
....
2 commentaires:
I haven't read your blog in about 5000 years, but I thought I'd post and tell you there was this NOVA episode about the origin of the flower last week. Mom and I haven't finished watching it yet, but we thought you should see it. They stream episodes online, though only for a set number of days, I think. I don't know if it's available yet. If it doesn't look like this is available anymore, let me know.
http://www.pbs.org/wgbh/nova/flower/
If the video works for that episode, you should watch "Cranford", too, which has been on Masterpiece Theatre the past two Sundays. Second episode will only be available for a few days, so don't put it off.
http://www.pbs.org/wgbh/masterpiece/cranford/watch.html
Enregistrer un commentaire