mardi 13 mai 2008

Fiat flower power

The flowers for the urns
all 18 of them on the principal and intermediate terrace, right
(and I forgot one)

17 mai
La version française se trouve à la fin.


I went all the way to Saint-Germain-en-Laye this morning for the off-street part of my motorcycle license exam, only to get a call after I made it through the worst of the traffic and was nearly there saying that I am not today. Oops.

Reprieve.

I pulled a U-turn in a nasty intersection and headed straight home to go get the flowers for the flower urns. We had people here non-stop over the past two weeks, and everyone regretted that I hadn't done the urns yet. I let them down.

I plead guilty, but I have been busy! That, and I hadn't seen the petunia hybrid that I like, Petunia x surfinia, in my visits to Florosny beelining through the annuals straight on to planting soil and the nursery. They were there, though. I only had to look for them, and as it was, I nearly missed them. The surfinias have arching branches, that fall beautifully over the sides of the urns, and they flower all through the late spring, summer and on into fall.

Last year, I discovered that I love deep pink surfinias on the top terrace, since they complement the peonies and, later, the weeping roses behind. On the intermediate terrace, I used blue-violet and deeper purple, which worked gorgeously with the hemerocalis in yellows, oranges and one called 'Summer Wine', the color of which I am too late with dinner to take the time to try to describe.

I mixed in Calibrachoa, or Million Bells, in white to very pale pink with the magenta surfinias and a deeper pink with the blue-violet ones, adding a bit of Bacopa (Sutera bacopa cabana) and Diaschia in a dusty pink there and Glechoma hederaceae 'Variegata', or Variegated creeping charlie or Variegated gill-over-the-ground because it was there in the nursery, and it seemed like a good idea to calm down all that riotous magenta with something with a cool, light green and cream colored leaf -- the green of a Creamsicle, if Creamsicles were green -- trailing down from the urn. It also echoes something else I have to identify that grows as a ground cover in the planting bed. Nice.

The photo above is from this evening, after I finished working and just before I raced to the grocery store to get dog food before they closed, which I very nearly missed. Try explaining to your dogs, who have more confidence in you than your mother when you were in elementary school and were the brightest, most creative, most insightful, overall superior student, that there is nothing for them to eat. I had already traded off their Pro Plan, preferring to transplant a few more plants I had not used to advantage (and still surely haven't) to making it back to Florosny before they closed at 7 PM, an hour before the supermarket (welcome to France).

Earlier today, I had far too many pots and trays of flowering plants for the urns to be able to load the dog food on the cart, too, and not dump it all on the floor accidentally at the cash register. As it was, an old woman with a small dog on a retractable leash looked disapprovingly at all my plants, as though it is in poor taste, or something, to need so many.

Maybe she just felt small in comparison with her two or three double geraniums in plain old red.

She spoke rather rudely, I might add, to her dog, but I out-polited her at the car when I saw she wanted to get into hers, which happened to be parked next to mine, "C'est votre voiture, Madame? Excusez-moi," and I closed my car door for her.

"Je vous en prie, Madame," me répondit-elle.

Back to surfinias.

The blue-violet surfinias work well, too, when the wisteria is in bloom, picking up the pale blue-violet of its hanging bunches of flowers that smell like something from heaven. Kind of like the parking lot at McMahon-Carnot, whose featured perfume the day we were there, Saturday, was Poison. You could think it was the Polonia trees, in full bloom, lining the street, but no. This is the 8th arrondisement (well, the 17th, actually, but where the 8th, 16th and 17th meet at l'Etoile), and even the parking lots have to smell good.

Or, sell product.

Over beyond the wisteria, on the terrace just a few steps further down, is the gazebo, which serves as my summer dining room. The house is up to the left, the main central stair is just past the box hedge under the wisteria.

That's Audouin's second son, Hector, between him and Sam, and Bérénice nous tourne le dos and hides Nadja, Hector's girlfriend, at lunch Thursday.
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Les plantes pour les vasques
pour tous les 18 des terrasses principales et intermédiaire, droite
(et j’en ai oublié un)

Je suis allée jusqu’à Saint-Germain-en-Laye ce matin pour l’examen de plateau de moto, seulement pour recevoir un coup de fil sur mon portable, ayant fait déjà la pire de la circulation du rush, avec deux endroits de travaux routière, disant que ce ne fut pas en fait mon jour d’examen. Désolé.

Sursis.

Je fis un demi-tour dans un carrefour particulièrement pénible à l’entrée de Saint-Germain, et me dirigeai directement à la maison pour aller chercher les plantes pour les vasques. Nous eûmes des invites sans arrêt les deux dernières semaines, et tout le monde remarqua que je n’avais toujours pas fait les vasques. Je les déçus.

Je plains coupable, mais j’avais été tellement prise ce dernier temps! Ca, et je n’avais pas encore vu les pétunias que je préfère, les Petunia x surfinia, dans mes visites chez Florosny, passant à travers les annuels pour aller directement aux vivaces, la pépinière et aux terres végétaux. Ils furent là, tout le même. Il aurait suffit de les chercher, et encore je faillis les rater. Les surfinias sont très retombant, couvrant gracieusement les bords des vasques surélevés sur leurs piédestaux, et ils fleurissent depuis la fin du printemps, pendant tout l’été, et encore dans l’automne quand peu de choses ne fleurissent plus.

L’année dernière, je découvris que j’adore les surfinias de rose soutenu au bord de la première terrasse, puisque la couleur des fleurs complémente les pivoines, et puis, plus tard, les rosiers pleureurs derrière. Pour la terrasse intermédiaire droite, je préfère les surfinias de bleu-violet et un violet plus soutenu, qui vont si bien avec les hémérocalles dans les jaunes, les oranges et un qui s’appelle ‘Summer Wine', la couleur duquel je n’ai pas le temps de décrire car je suis déjà trop en retard dans les préparations du dîner.

Je rajoute de Calibrachoa, ou Million Bells, un hybride des Calibrachoa native de l’Uruguay et du Brésil et des pétunias sauvages. La principale différence entre les Calibrachoa et les pétunias et dans leur nombre de chromosomes. C’est une plante très retombant, aux petites fleurs de pétunia. J’aime les blancs et les rose très pale avec les surfinias magenta, et un vieux rose avec les surfinias bleu-violet, rajoutant de Diaschia dans un rose vieux plus intense encore, et de Bacopa (Sutera bacopa cabana) et de Glechoma hederaceae 'Variegata', ou de lierre terrestre hederacea 'Variegata' parce qu’il fut la parmi les annuels chez Florosny et parce que (la vraie raison) il me semblait bien de calmer tout ce magenta avec quelque chose d’un vert sobre, clair et frais. Avec ses feuilles crème et verdigris clair retombant des vasques, il rappelle le couvre sol dans les plates-bandes, aux feuillage d’un vert encore plus clair marbré de crème. Je ai toujours à l’identifier.

Je pris la photo ci-dessus ce soir, après avoir terminé le travail du jour et juste avant de me dépêcher aller chercher de la nourriture de chien avant que le supermarché ne ferme à 19h50 (dernier moment de rentrer en magasin), ce que je faillis rater. Essayez d’expliquer cela à vos chiens, qui ont plus de confiance en vous que votre mère quand vous étiez petit écolier et fûtes le plus intelligent, le plus créatif, le plus perspicace, et supérieur aux autres en toutes vos qualités rayonnantes, qu’il n’y a rien à manger. Déjà j’avais laissé tomber leur ProPlan, préférant de transplanter quelques plantes de plus que je n’avais pas utilisées davantage la saison dernière – et sûrement toujours pas fait – à tout laisser tomber pour aller chez Florosny l’acheter avant qu’il ne ferme à 19h00, une heure avant le supermarché. On est plus aux Etats-Unis.

Plutôt aujourd’hui, j’eu bien trop de bacs de plantes et grands sacs de terre végétale dans mon chariot pour pouvoir charger les deux sacs de 15 kilogrammes de nourriture aussi, sans risquer de tout faire tomber parterre en route à la caisse. Déjà, une vielle dame, avec so crevette de chien en laisse escamotable, jeta un regard de désapprobation sur toutes mes plantes, comme s’il est de mauvais goût et ne se fait pas d’en avoir besoin d’autant.

Peut-être elle se sentit insignifiante en comparaison avec ses deux ou trois Géranium lierres en rouge basique.

Elle parla d’une manière plutôt rude à son chien, d’ailleurs, mais j’eus le dernier mot de politesse dans le parking quand je vis qu’elle voulut monter dans sa voiture, garée à côté de la mienne. « C’est votre voiture, Madame ? Excusez-moi. » Je fermai la porte de la mienne.

“Je vous en prie, Madame,” me répondit-elle, admettant un petit sourire.

Retournons aux surfinias.

Les surfinias bleu-violet vont très bien aussi avec la glycine quand celle-ci est en fleur, complémentant le bleu pâle, touché de violet, des ses grappes de fleurs, qui sent de quelque chose venant du ciel. Un quelque sorte comme le parking McMahon-Carnot, où le parfum du jour fut Poison le jour nous y fumes, Sam et moi, samedi. On pouvait penser que ce fut les Polonias, en pleine fleur, le long de l’avenue McMahon, mais no. C’est l’Etoile, et même les parkings doivent sentir bon.

Ou vendre de produit.

Là-bas, derrière la glycine, quelques marches en bas, se trouve la gloriette, qui sert de ma salle à manger d’été. La maison est là, en haut à gauche. L’escalier central plonge juste après la haie de buis en dessous de la glycine.

C’est Hector, le deuxième fils d’Audouin, entre Audouin et Sam, et Bérénice, qui nous tourne le dos, cache Nadja, l’amie de Hector, au déjeuner jeudi dernier.

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